Carnet de voyage Eté 2007 – Paule et Germaine
Posté par ENO filles le 20 août 2007
« Raid » movie de Los Angeles à Vancouver
Bonjour à tous mes ami(e)s du blog Aujourd’hui le temps est maussade, le vent violent, présage de l’hiver qui revient. Je commence à émerger de mon rêve américain et je sais bien que vous attendez de moi un récit détaillé de nos aventures. Germaine, soucieuse de ma mémoire défaillante m’a adressé un petit mémo qui va bien m’aider dans mon récit. Bon, cela ne m’ouvrira peut être pas les portes de l’Académie française mais je me lance.
Etat : Californie, Côte Ouest, tout le monde connaît depuis l’enfance, grâce au cinéma. Pardonnez-moi mais je suis plutôt « cinéma américain ». J’ai commencé avec « La Tunique », premier film en cinémascope, film grandiose, extraordinaire, 3 oscars, avec Victor Mature, Richard Burton et Jay Robinson (Dracula) qui a marqué le cinéma… et moi. C’était à Oran en 1956
L’atterrissage sur LA est spectaculaire:
L’Amérique, c’est d’abord l’immensité, une grande respiration, un pays en cinémascope. C’est du moins ce que je ressens chaque fois que j’y pose mes pieds. Mon regard se perd vers cet horizon, cet espace qui me semble illimité, et j’aime ça ! A Los Angeles, les quartiers sont tellement différents les uns des autres, qu’il est facile et souvent déroutant de « changer d’air », sans pour autant quitter la ville ! Nous allons donc commencer la visite par Hollywood dont chacun connaît depuis sa naissance le sigle qui s’inscrit en lettres géantes de 16 mètres de haut sur les collines.
* Si vous voulez plus d’informations, vous les trouverez en fin d’article.
Ce sigle, on peut l’apercevoir de chez notre amie Germaine qui habite le magnifique quartier de West Hollywood, à l’angle de Melrose place et de Beverly Hills bd
Que de noms évocateurs pour les amateurs de séries américaines!
Première journée. Germaine - un guide que je vous recommande- me fait découvrir le charmant quartier d’El Pueblo, les vestiges du premier village d’où naquit la grande cité de Californie
Sur Olvera street, ambiance mexicaine garantie, échoppes de souvenirs et d’artisanat hispanique au milieu de la rue, magasins et restaurants dans les maisons historiques, musique et margarita. Si vous venez chez moi, il y a toujours un verre bien frais qui vous attend, mais ici, c’est géant, à l’image du pays.
Et après le repas, on emporte ce que l’on n’a pas pu manger: pas de gaspillage et pas besoin de se gaver au repas -c’est le fameux Doggy bag que nous avons bien du mal à accepter dans notre belle France. C’est bien dommage!!!
L’histoire de sa création se trouve célébrée dans un charmant musée (gratuit !) installé dans la plus vieille maison de L.A., La Casa de Avila.
L’intérêt particulier de sa visite est l’Histoire de l’eau à Los Angeles. Comment, alors que la petite rivière descendue des Santa Monica était incapable d’alimenter plus d’une centaine de milliers de gens, est-on parvenu à en abreuver cent fois plus, arroser leurs jardins et alimenter leurs installations industrielles ? C’est là que vous comprendrez pourquoi LA est un grand jardin et non pas une ville de béton. Seul le Down Town nous offre ces gratte-ciel que tout le monde connait. Ses habitants apportent un soin particulier à la magnifique végétation dont ils s’entourent
Il ne faut pas oublier que la Californie est un pays de cinéma et que la mise en scène y est parfaitement au point.
… N’oubliez pas de lire la suite au prochain article, mon blog bloque et moi je dois débloguer si je ne veux pas débloquer
Enfin, nous commencions à désespérer…Vous nous avez juste mis en appétit….
Merci fidèle amie et charmante bloggeuse. C’est très long de sélectionner et de préparer toutes ces photos, et encore plus dur de résumer un mois de voyage. Aujourd’hui ce n’était que le premier jour. Je ne sais pas si mon blog supportera. Auquel cas je serai obligée d’en créer un autre.
A bientôt
Paule
Ce serait dommage que le blog bloque. Comme dit Fabienne, tu nous ouvres l’appétit et puis c’est la cata. Bon j’espère que tu trouveras la solution très vite. On commence déjà à attendre la suite. Jeannine
Après les minimoys nous étions en haleine. La taille des séquoias nous mettait l’eau à la bouche : noyés, écrasés que nous allions être, nous allions goûter les nectars, ceux de ces pays de l’autre monde !
C’est bien, Paule et Germaine, vous avez posé le décor. On a vu l’envers de la « pièce ». Nous souhaiterions en connaître l’avers : des anecdotes originales, pimentées, doucereuses, des crêpages de chignons, des réconciliations, des courses-poursuites, des scènes statiques, des qui bougent, de l’humour, de l’humeur, des sentiments, des cris, des rires, des pleurs, du suspens, des flonflons, du violon… du rêve quoi, ce rêve américain dont on nous parle tant… Tout ce qui élève l’âme vers ces choses spirituelles, une vraie anagogie quoi ! Tous ces petits « faits », extraits des « faits » qui font qu’on « fait » que l’on se délecte de ce qu’on lit après avoir lu ce que vous avez « fait » (bon, j’ai « fait » ce que j’ai pu) !
Allez notre « blogueuse en chef » et notre américaine provençale : au boulot ! Et vite !
Et après avoir mûrement considéré les différents aspects de la question, je dirai que dans le cas particulier de l’extrémité présente, il serait intéressant de prendre en considération la somme des issues envisageables, soit la totalité des sujets bien qualifiés et exposés dans l’avers, ci-dessus
. Ceci naturellement pour notre plus grand bonheur.
C’est la raison pour laquelle, Germaine et Paule, j’espère que vous n’exclurez pas la non possibilité de ne pas répondre négativement à notre demande !
Euh ! Il y a des fois où je ne me comprends pas moi-même, tant pis !
Bien sûr, tout dépend du point de vue où l’on se place par rapport à la question ou à l’idée que l’on s’en fait, car il y a dans la vie des circonstances où l’homme (surtout la femme, ne l’oublions pas), si avisé(e) et si circonspect soit-il(elle), se trouve en présence de faits, qui bien que secondaires, n’en ont pas moins leur importance -surtout pour les autres-, toutes proportions gardées par ailleurs et bien sûr inversement !
Un Papy qui compte les heures, anxieux de connaître la suite des événements, frelampier (bon à rien), scotché au blog depuis que les temps (il pleut à verse) et les connexions ADSL sont devenus très difficiles en ce moment.
Voilà résumé en quelques mots ce que je pense . Exactement cela! mais je ne me serai pas creusé la tête pour sortir un texte pareil. Merci encore Papy et bravo.
J’ignore si vos mots seront pris » au mot » mais j’ose croire que cela va booster nos reporters qui parlent de raid-movie , alors que moi je parlais simplement de road-movie. est-ce que frelampier se dit au Féminin?
Euh, en principe «frelampier – bon à rien-» est du genre masculin.
.

C’est un détournement de la définition qui à l’origine était appliquée à certain frère de couvent ou de monastère, chargé d’allumer les lampes (Frè re lampier ?), sans l’accent
Je n’ose penser que certains « penseurs » mal intentionnés, peut-être pendant la révolution –mais c’est gratuit- pensaient que ces frères là ne savaient pas faire autre chose, d’où ce qualificatif de «bon à rien» (je plaisante, bien sûr à propos des « penseurs » !)
Mais si j’osais je dirai que la bienséance, la politesse, la bonne éducation que nous sommes sensés avoir, nous les messieurs, le respect des dames, n’incite guère à féminiser ce mot.
Toutefois, car il y a un toutefois, puisque vous luttez depuis assez longtemps pour «l’égalité des sexes», je ne me sens pas le droit de vous empêcher d’utiliser ce mot au féminin, à vos risques et périls. Rien ne vous empêche de créer ce néologisme.
Et si nous devions attendre 107 ans pour chacun des 30 jours passés aux USA pour avoir les 30 comptes-rendus, nous ne sommes pas sortis du… couvent !
Coucou Paule ! (On se calme !)
Oui Papy on se calme !
Avez-vous trouvé la solution pour le PPS des mannequins du 3ème âge, là aussi on attend….. Bougez- vous un peu…..Sinon il fallait pas promettre….
Heps ! On n’insulte pas les anciens, ma chère Fabienne.
. Puis j’ai envoyé le résultat en double, chez Paule et chez Jeannine. Elles pourront confirmer.
Au sujet de ce PPS, dès qu’il m’est parvenu, j’ai satisfait à la demande de Paule et j’ai « allégé les mannequins »
Quelque part, à la suite des commentaires de votre compte-rendu de Sète, Paule me demandait le 15 Aôut à 21h 06 : «(…) Mais si tu as une idée Papy pour me réduire ce pps, je prends.»
Le 16 Août à19h 17, après qu’elle m’ait envoyé son PPS, je lui ai répondu : J’ai ! Tu prends ? J’envoie.
Et à 20h 09 le 16 Août (nous sommes le 21 !) On ne se débine pas chez nous mâââme ! Je promets, Je dis, Je fais et sans attendre !
Seul hic, je n’ai pas remis la musique sur le PPS. Mais Paule sait faire.
Vous disiez, Fabienne ?
La musique je suis en train de vous l’enregistrer, avec tout le respect que je vous dois, Papy.
Il vous a été demandé d’alléger le PPS et non les mannequins!