Posté par ENO filles le 5 octobre 2006
sur l’air d’ « une fleur au chapeau »
Cachou qui nous regarde passer
A bien envie de nous coller
Mais tu te mets les doigts dans l’nez
Et tu nous fais bien rigoler
Tu peux bien crever de rage
Et même broyer du cirage
Tu ne nous auras jamais
Car nous aurons toujours pour toi
Refrain
Cinq minutes de retard
A la bouche une chanson
Et un air de ne pas s’en faire
Et c’est tout ce qu’il faut
Pour ta grosse tête de thon
Pour arriver à te déplai-re
Et encore … même date, même cible
…sur l’air de « Nini peau d’chien »
A l’E.N.O., on n’la gobe pas cette peau de chien,
Elle nous énerve, c’est une vraie gale ;
On voudrait tant, quoi donc ?
Qu’elle foute le camp, où donc ?
Et bien au diable !
Extraits du cahier de Sylvette qui est plein de ressources pour ce blog…
Il n’y a pas que la poésie bien sûr!
« Une tête bien pleine dans un corps bien fait »
Sylvette s’entraîne … Et Hélène Perez, le moine, lit sont bréviaire…

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Posté par ENO filles le 4 octobre 2006
Ah ! Dormir ! ! !
Qui veut la fin, veut les moyens ! Les dortoirs étaient composés de petites chambres individuelles séparées par des cloisons et occultées par un rideau. Chaque chambre était équipée d’un lit à une place, d’un placard, d’une petite table et d’un lavabo. Les douches se trouvaient près de l’infirmerie et nous pouvions en prendre deux fois par semaine. Tous les matins nous étions brutalement réveillées par une sonnerie électrique au son métallique et désagréable. Comme les dortoirs étaient en enfilade, la pionne appuyait sur un bouton depuis sa chambre et un relais commandait les différentes sonneries. Nous avions repéré celle de notre dortoir. Simone, une camarade particulièrement grande avait grimpé sur le mur et avait réussi à la neutraliser en glissant un morceau de carton. Aussi la pionne, lorsqu’elle passait son inspection matinale, ne comprenait pas que les filles des autres dortoirs soient toutes occupées à leur toilette alors que nous, nous continuions à dormir tranquillement. Elle était obligée de nous réveiller individuellement. Toutefois, la supercherie fut découverte et toutes les filles du dortoir furent collées par solidarité avec les élèves qui avaient imaginé le subterfuge.
Danièle Derschlag -Promotion 56-60 A SUIVRE…
Il y en aura d’autres bien sûr… A vos plumes Mesdames
LA RETRAITE EST PROPICE AUX SOUVENIRS ET A LA LITTERATURE…

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